Plus de deux cents personnes étaient présentes dimanche à Daillens pour un rendez-vous caritatif appelé à devenir annuel. Deux chèques ont été remis à l’association Impact’Jeunes et à la société de coaching R-Source.
130, 150, 170, 200 puis 225! Le compteur des participants au premier brunch du KC Gros-de-Vaud n’a fait qu’augmenter la semaine passée, atteignant au final un chiffre représentant presque le double de celui que les membres du club espérait atteindre initialement. La grande salle était donc comble dimanche pour ce nouveau rendez-vous appelé à désormais se renouveler chaque dernier dimanche du mois de mars.
Le président du club Luca Caretti a expliqué à l’assemblée que l’idée de ce brunch était née de l’impossibilité d’organiser ces deux dernières années le traditionnel Noël de l’Amitié du club. « Le Covid nous a obligés à nous réinventer. Mais quand on voit le monde présent dans cette salle aujourd’hui, on se dit: qu’est-ce qu’on a bien fait. »
Après un brunch «tour de chauffe» en version réduite l’an passé à Rueyres et le succès de cette année, les AK sont donc bien décidés à inscrire leur manifestation dans le calendrier annuel du Gros-de-Vaud. Tout comme ils comptent reprendre l’organisation de leur Noël de l’Amitié dès la prochaine période de l’Avent.
La manifestation à Daillens a offert l’occasion de remettre deux chèques. Un premier, d’un montant de 2000 francs, a été remis à l’association Impact’Jeunes, qui aide des jeunes en difficultés scolaires et sociales. Présidente de l’association, Joanne Horisberger a dit son « immense reconnaissance », car les besoins sont importants. « Nous venons d’ouvrir une antenne à Echallens et, malheureusement, même sans avoir fait de publicité, nous n’arrivons déjà plus à répondre à la demande. » L’association est donc en quête de nouveaux locaux pour pouvoir étendre son offre.
Le second chèque, d’un montant de 5000 francs, a été remis à Céline Brocard-Guinchard. Ce soutien est original, car il constitue une réserve, dans laquelle cette coach d’adultes, d’enfants et d’adolescents peut aller puiser pour réduire les factures des personnes qu’elle reçoit, lorsque celles-ci connaissent, en plus, des difficultés financières. Un fonctionnement bien évidemment cadré par un accord et une surveillance du Kiwanis Gros-de-Vaud.
AK Luca Caretti